Collé(e)s aux douanes

 Des visiteurs québécois mécontent se faisait un malin plaisir de critiquer Donald Trump pendant qu'ils passaient leur temps à glandouiller dans le bureau d'immigration quand les douaniers sont là à poser plus de question. Ces québécois en question prenaient les douaniers américains comme des imbéciles quand ils se mettaient à parler en français tout le long pendant qu'ils étaient entrain d'attendre longtemps comme des idiots. Pendant qu'ils attendaient, ils se mettaient à parler contre Donald Trump et d'un accent anglophone, un douanier américain lui a dit clairement de décâlicer des États-Unis en leur disant. "Ma gang de tabarnak, décâlicez, you're not allowed to go in United States". Pendant ce temps, ils étaient oubligé de décoller en entrant à Lacolle et il fallait qu'ils attendent comme des cons à la colle afin que le document de renvoi américain soit faxé rendu aux douanes de Lacolle l'autre côté de la frontière à Champlain en stipulant que ces voyageurs sont bien retournés vers le Québec.

Justin Trudeau a une grosse patate chaude dans la bouche.

Justin Trudeau avait une grosse patate chaude dans la bouche quand il s'est retrouvé à l'Université Bishop à Sherbrooke. Il montre à tel point que le bilinguisme ne marche pas. Une journaliste lui pose une question en anglais et sa patate chaude lui faisait tellement mal qu'il décidait de répondre en français parce que le forum était en français.  Justin, arrête de prendre les gens pour des imbéciles, le bilinguisme ne fonctionne pas. Avec le bilinguisme, il y a toujours une langue qui prime sur l'autre. 

Méchante face de carême chez l'équipe Canada

Les membres de l'équipe Canada faisait une méchante face de carême épouvantable suite à la défaite. Sérieux, je m'en fous éperdument de savoir qu'ils ont perdu. Comme si ça changeait quelque chose dans ma vie. Le journal de Montréal cible les gens que pour eux, c'est important de produire, faire de l'argent même fait de manière ignoble dans le but de lyncher. C'est ça le journal de Montréal, c'est une gang de poche qui ne cesse de scribouiller de manière éhontée avec le sensationnalisme. Ce n'est pas pour rien que ce maudit journal encourage le lynchage et Richard Martineau a le culot de dire qu'on lynche parfois à bon escient, ça prend un imbécile pour dire une chose pareille. Oui, Richard Martineau, la seule chose dont je t'envie c'est d'avoir rencontré Jacques Vergès et il a bien fait de te foutre dehors.

                                   Photo: Martin Chevalier